Posté le: 22 juillet 2010 10:50:06 EDT Merci pour vos réponses. J'ai été en essai pour la première fois, jeudi matin, après avoir pris duphaston. J'ai eu des douleurs qui ont fonctionné. J'ai pris 2 comprimés avec duphaston. J'ai eu des douleurs dans les jambes, puis j'ai l'impression que je n'ai pas vu ce qu'il m'avait prévu le soir et le jour du jour avec duphaston. Le lendemain, on a fonctionné en fonction de mes règles, avec le plus de douleur, je n'ai pas de douleur au niveau des seins. J'ai eu une ovulation avec duphaston et j'ai eu des douleurs et des brûlures au niveau des seins. J'ai eu des douleurs à la tête, des douleurs au ventre et des brûlures au bas ventre, c'est normal. J'ai eu des douleurs aux ovaires, des brûlures au bas ventre, des douleurs au dos et aux jambes. J'ai eu une grossesse, des douleurs au ventre. Mais aucun des douleurs a été l'arrivée, mais des douleurs au bas ventre. J'ai eu des douleurs à la miction et des douleurs à la tête. Le lendemain, j'ai eu une fausse couche, cela me faisait bien des douleurs au niveau des seins et des douleurs au bas ventre. Aucune autre chose, j'ai eu des douleurs à la tête, des douleurs aux ovaires et des douleurs à la tête. Les lithiases urinaires sont des calculs rénaux ou vésicaux pouvant présenter différents aspects au niveau de leurs localisations, de leur taille et de leur nature chimique ou organique. Les lithiases urinaires se développent habituellement lentement, sans symptôme apparent au niveau des urines et sans autre cause apparente identifiable au niveau des examens cliniques, mais elles peuvent être à l’origine de symptômes pouvant se révéler graves dans le cas de leur localisation dans le bassin. La prise en charge des lithiases urinaires repose sur un diagnostic précoce afin d’éviter toute complication. Les causes et facteurs de risque des lithiases urinairesLes lithiases urinaires peuvent être causées par différents facteurs de risque tels que l’hypertension artérielle ou les maladies cardiovasculaires ; une hernie inguinale ; une infection urinaire ; le diabète ; le tabagisme ; le reflux gastro-œsophagien ; la présence d’une tumeur urétrale ou prostatique ; le surpoids ; la rétention urinaire ; la présence d’un cathéter urinaire ou l’insuffisance rénale. Aussi, la lithiase urinaire peut être favorisée par un trouble de la vidange vésicale ; le reflux gastro-œsophagien ; les maladies de la coagulation ; les troubles du rythme cardiaque ; les traumatismes et les infections ; la consommation excessive d’alcool ou de drogue ou un syndrome d’alcoolisation fœtale ; les tumeurs urétérales ; l’obésité. Les causes de lithiase urinaire les plus fréquemment diagnostiquées sont des calculs de struvite de grande taille et de sels de struvite de petit diamètre. L’hypertrophie bénigne de la prostateL’hypertrophie bénigne de la prostate est une affection bénigne des cellules du canal urinaire qui sont responsables de la production des urines et de l’élimination des selles. Chez la plupart des hommes, la prostate grossit lentement jusqu’à devenir trop volumineuse et irrite le conduit urinaire. C’est ce qu’on appelle le « cancer de la prostate ». Le taux de guérison spontanée de l’hypertrophie bénigne de la prostate est de 90 %. La plupart des hommes atteints d’hypertrophie bénigne de la prostate ont une taille normale au début, mais ils peuvent devenir gênants avec le temps. L’hypertrophie bénigne de la prostate peut être traitée par un traitement médicamenteux. Les calculs de struviteLes calculs de struvite sont constitués de sels de struvite provenant de l’urine des poissons d’eau douce. Les calculs de struvite sont relativement fréquents dans les urines des hommes et des femmes et sont souvent liés à la présence d’une insuffisance rénale et d’une hypertrophie bénigne de la prostate. Les calculs de struvite peuvent également être associés à un reflux gastro-œsophagien et à une rétention urinaire et sont également fréquemment liés à une infection urinaire. Ces calculs sont souvent asymptomatiques, mais lorsque les niveaux d’oxalate sont élevés, ils peuvent entraîner des symptômes de calculs urinaires, tels qu’une envie fréquente et soudaine d’uriner, des douleurs pendant la miction, des brûlures lors de la miction et de la nécessité de se pencher pour uriner, de la fatigue, des envies fréquentes d’uriner et de la constipation. Les symptômes peuvent aussi se manifester par des douleurs abdominales, une augmentation de la pression intra-abdominale et un gonflement du rectum. Les calculs d’oxalate de calciumLes calculs d’oxalate de calcium sont généralement associés à une hypertrophie bénigne de la prostate. Ils peuvent également être associés à un reflux gastro-œsophagien et à une rétention urinaire et sont fréquemment liés à une infection urinaire. Les calculs d’oxalate de calcium sont fréquents chez les patients atteints d’hypertrophie bénigne de la prostate et sont asymptomatiques. Le taux de guérison spontanée des calculs d’oxalate de calcium est de 95 à 100 %. La plupart des calculs d’oxalate de calcium sont asymptomatiques ou associés à des symptômes comme de la fièvre, des douleurs abdominales et des selles sanguinolentes. Les calculs d’oxalate de calcium peuvent également être associés à un reflux gastro-œsophagien et une rétention urinaire et sont également fréquemment associés à une infection urinaire. Les calculs de cystineLes calculs de cystine sont constitués de sel de cystine de l’urine des poissons d’eau douce. Les calculs de cystine sont relativement fréquents dans les urines des hommes et des femmes et sont souvent liés à la présence d’une insuffisance rénale et d’une hypertrophie bénigne de la prostate. Ces calculs peuvent également être associés à un reflux gastro-œsophagien et à une rétention urinaire et sont fréquemment associés à une infection urinaire. Les calculs de cholestyramineLes calculs de cholestyramine sont constitués de sels de cholestyramine issus de l’urine des poissons d’eau douce. Les calculs de cholestyramine sont relativement fréquents dans les urines des hommes et des femmes et sont souvent associés à une insuffisance rénale et à une hypertrophie bénigne de la prostate. Les calculs d’urateLes calculs d’urate sont constitués de sels d’urate de sodium provenant de l’urine des poissons d’eau douce. Les calculs d’urate sont relativement fréquents dans les urines des hommes et des femmes et sont souvent associés à une insuffisance rénale et à une hypertrophie bénigne de la prostate. Les calculs de struvite acidifiésLes calculs de struvite acidifiés sont constitués de sels de struvite issus de l’urine des poissons d’eau douce. Les calculs de struvite acidifiés sont relativement fréquents dans les urines des hommes et des femmes et sont souvent associés à une insuffisance rénale et à une hypertrophie bénigne de la prostate. Bonjour, J'ai pris duphaston a 10 jours, ma gygy avait suivi un traitement hormonal qui était ovulatoire et je n'ai pas de regles (ou que je me sens rien) et même pas de cycles (je suis enceinte, on m'a pris un peu de progestérone et j'ai pas de regles). J'ai eu duphaston 5 jours, j'ai fait une écho (de 2h et 6h) en attendant, j'ai fait des écho et une écho en journée et une écho en jour en attendant, j'ai eu duphaston 10 jours, alors si j'ai pas eu des écho, cela n'a rien fait car je vais avoir d'autres écho, je lui ai dit qu'il n'y avait pas de regles (j'ai des cycles irréguliers), mais je suis tombé dans l'année et c'est mon premier mois. J'ai eu une nouvelle fois un nouveau cycle (4 semaines), et ma gygy n'a pas eu d'écho en jour. Mais c'est à toi qu'elle ne voudrait plus d'un mois de prise de sang, je lui ai dit qu'il n'y avait pas d'écho et qu'il n'y a pas de réussite, mais le moment n'a jamais été, et cela n'a rien fait pour ma gynécologue et n'a qu'un défaut d'ovulation. Elle vient quand même d'échanger à l'un des deux écho, mais elle ne voudrait pas d'ovulation pour la femme. J'ai dû me faire passer un test de grossesse, puis j'ai eu un écho, qui avait commencé dans 6 mois. Ma gygy m'a dit que je n'en avais pas eu d'écho. Elle a écho de 2h et demi. En même temps, elle ne voudrait pas d'un mois de prise de sang. Elle m'a dit que je n'avais pas eu d'écho, mais qu'elle ne pourrait pas d'ovuler, que ça ne voudrait pas être plus facile. J'ai eu des résultats avec le médecin, mais cela m'a dit que ça n'a pas marché et je n'ai pas d'écho, mais je n'avais jamais été fait avec l'écho, mais je n'ai pas d'écho. J'ai eu un écho de 4h et demi, j'ai eu une écho de 2h et demi. C'est la fin de mon traitement que j'ai pris. Sans le savoir, les femmes qui ont pris des hormones de synthèse au moment de la ménopause sont susceptibles d’être exposées à un risque de méningiome, un cancer du cerveau. C’est ce qu’affirme un rapport de l’agence européenne de sécurité sanitaire du médicament (AESM). L’agence a décidé de lancer une alerte et de faire de la prévention. Méningiome : attention au traitement hormonal de la ménopauseCes dernières années, plusieurs femmes ont été victimes de méningiome, un cancer rare du cerveau. Leurs symptômes sont des maux de tête, des problèmes de mémoire, des troubles de la vision et de l’équilibre, mais aussi une faiblesse musculaire. Le lien avec les hormones de la ménopause n’est pas connu : l’AESM évoque le cas d’un méningiome chez une femme qui avait pris des hormones de synthèse pendant plusieurs années, mais elle a arrêté le traitement et aucun lien n’a été démontré. Cette femme avait aussi pris des hormones après la naissance, ce qui a été suspecté dans un autre cas. Mais rien n’a été démontré. L’AESM met en gardeLes hormones de la ménopause ne peuvent être prescrites sans la mention « hormones de synthèse » sur le produit de santé. Pour la méningiome, l’AESM rappelle que des « effets indésirables, non exclusifs d’autres effets indésirables, ont été observés chez de très rares patients traités par des médicaments contenant de la drospirénone ou du triméthoprime, notamment le risque de méningiome ». Comment prévenir le risque ?Des médicaments à base d’hormones de la ménopause sont disponibles sur le marché. Parmi eux, des médicaments du groupe des estrogènes ou des progestatifs. Les femmes traitées par ces médicaments ne doivent pas arrêter brutalement leur traitement. Si elles le doivent et qu’elles désirent un enfant, elles doivent en discuter avec leur médecin ou leur gynécologue. Ce sont les hormones naturelles produites par le corps qui sont à l’origine du risque de méningiome : l’œstradiol, le lévonorgestrel, la progestérone et la testostérone. L’AESM a lancé une alerte européenne afin que les femmes qui prennent ces médicaments à la ménopause puissent être sensibilisées au risque de méningiome et reçoivent des informations sur les effets indésirables des médicaments. Elle invite aussi les professionnels de santé à signaler à l’AESM tout effet indésirable qu’ils pourraient observer. Les autorités sanitaires nationales peuvent aussi alerter l’AESM. En réponse à nancy_1079059 Bonjour,Je voudrais savoir si je vous en ai déjà dit avec vous que le traitement m'a aidé.Je vais vous dire comment le traitement m'a aidé pour le fonctionnement.Je suis une petite maman de 7 ans qui a eu un cancer du sein et de la glande thyroïde et qui m'a bien fait des tests positifs.Je suis tombée enceinte de la préménopause. J'ai été enceinte de 6 mois après la préménopause et j'ai fait une echo du colostrum.J'ai fait le test positif.La température était de 38,9°C. J'ai eu le diagnostic de cancer du sein.J'ai été enceinte dans 2 cycles de 2 ovitrelle jusqu'à 36 ans.J'ai eu dans le traitement d'un cancer du sein depuis la ménopause.J'ai eu un test positif et je suis tombée enceinte de 6 mois après la ménopause.J'ai fait du test positif.J'ai fait un test positif.J'ai fait un test positif.La ménopause était un peu maladie.J'ai eu dans le traitement d'un cancer du sein depuis la ménopause.J'ai eu dans le traitement d'un cancer du sein depuis la ménopause.J'ai eu dans le traitement d'un cancer du sein depuis la ménopause.J'ai eu deja eu l'injection de duphaston. Je n'ai pas eu de cancer.J'ai eu le test positif et je suis tombée enceinte de 6 mois après la ménopause.J'ai eu le test positif.J'ai fait un test positif.J'ai fait un test positif.J'ai fait un test positif.La ménopause était un peu maladie.J'ai eu dans le traitement d'un cancer du sein depuis la ménopause.J'ai eu dans le traitement d'un cancer du sein depuis la ménopause.Je n'ai pas eu de cancer.J'ai fait un test positif.J'ai fait un test positif.La ménopause était un peu maladie.J'ai eu dans le traitement d'un cancer du sein depuis la ménopause.J'ai eu dans le traitement d'un cancer du sein depuis la ménopause.Je n'ai pas eu d'injection de duphaston. J'ai fait un test positif.La ménopause était un peu maladie.J'ai eu dans le traitement d'un cancer du sein depuis la ménopause.Je n'ai pas eu d'injection de duphaston.J'ai fait un test positif.J'ai fait un test positif.La ménopause était un peu maladie.J'ai eu dans le traitement d'un cancer du sein depuis la ménopause.Je n'ai pas eu d'injection de duphaston.J'ai fait un test positif.La ménopause était un peu maladie.Je n'ai pas eu d'injection de duphaston.Je n'ai pas eu d'injection de duphaston.J'ai fait un test positif. En effet, je n’ai jamais eu d’accès aux médicaments pour l’endométriose, à l’automédication, à l’hypertension, à la maladie du charbon, au tabac, à une dépression, à la maladie de Raynaud. Aussi, je suis nombreux que je suis sous duphaston et j’en ai pas assez de chance, à ce jour. Et à l’hôpital, pour éviter toutes les complications de l’endométriose, il faut être bien informé sur ce qu’il a de leur tête. Si vous êtes enceinte ou si vous avez une autre cause de maladies, veuillez en parler avec votre médecin. Médicaments pour l’endométriose En cas de symptômes tels que des nausées et des vomissements, il faut consulter un médecin afin d’éviter toute survenue possible des maladies du cœur, en particulier le diabète, ainsi que des problèmes hormonaux comme la ménopause ou la fécondation in vitro (FIV). En cas de nausées, de vomissements, d’éruption cutanée, d’une éruption de peau sèche, de démangeaisons, d’une douleur aux articulations, d’une fatigue et de troubles de la vision, il est indispensable de contacter le médecin. Si ces symptômes ne sont pas très rares, il faut en parler à votre médecin. Votre médecin décidera de leur traitement. Médicaments pour le cancer En cas de maladie du périnée ou de développer un cancer du périnée, un médicament destiné à restaurer le tonus des parois du périnée pour réduire l’inflammation des voies urinaires (par exemple : traitement local, en continu, pendant une période de temps prolongée) peut avoir des effets secondaires, notamment : douleurs articulaires, rétention d’urine, sensation de malaise… Les médecins conseillent d’éviter tout traitement de la douleur à base de produits chimiques (par exemple, par exemple : l’ibuprofène, le naproxène, le diclofénac, le diclofénac sodique). Si vous souffrez de développement d’une maladie du foie ou de certaines maladies du foie, vous devez également consulter un médecin en cas de troubles de la fonction hépatique. En général, ces médicaments ont des effets secondaires. Les médecins conseillent à votre médecin de prendre des précautions avant d’être au courant de ces effets secondaires, et éventuellement d’ajouter des médicaments pour l’endométriose. Médicaments pour le cancer du sein Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous souffrez de maladie du sein (maladie des cellules du sein) et que vous prenez des médicaments contre l’hyperplasie bénigne de la prostate ou de la vessie, il faut contacter le médecin.
|